dimanche 1 août 2021

Zee Monodee - Un peu plus loin, je te rejoindrai - Saga - Trois soeurs à l'île Maurice - Tome 1 - Editions kindle - 2019


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Zee Monodee - Auteure mauricienne - Romance sous forme de saga en trois tomes :

Trois soeurs à l'île Maurice : 


1- Un peu plus loin , je te rejoindrai

2- Un peu plus près des étoiles 

3- Un peu plus d'amour que d'ordinaire

Les tomes 2 et 3 ne semblent hélas pas disponibles sur Amazon...

Emilie Schoé - Lola du Retz - Clotilde et Garance : Vengeance sous les tropiques - Editions La Jouvencelle - 2020


 

 

 

 

 

 

 


Ebook - roman érotique

Emilie Schoé - Lola du Retz : pseudos de deux auteures françaises (je n'aime pas autrices , pourquoi pas autruches tant qu'on y est?) connues , si l'on s'en tient au discours officiel -  nous rejouent le thème de la vengeance est un plat qui se mange froid. Sauf qu'ici la vengeance se déguste très très chaudement. Sea , sex & sun à l'île Maurice.

Sydney Selvon - Deux siècles et plus de cinq générations de marronnage à l'île Maurice - Histoire des premiers Mauriciens - ebook Kindle- Ile Maurice -2019


 

 

 

 

 

 

 

 

 Sydney Selvon : auteur mauricien - version ebook

Il est écrit ceci sur la quatrième de couverture : L’auteur, Sydney Selvon, historien très connu à l’île Maurice, et un ancien ambassadeur, réécrit l’histoire nationale de son pays depuis son premier livre en 1982. Il poursuit sur cette ligne en réaffirmant que l’île avait déjà une population à la prise de possession française en 1715, laquelle population, laissée dans le pays par les colons hollandais, était multiethnique, venant d’esclaves marrons, venant d’Afrique et d’Asie, et de blancs européens ayant fui eux aussi dans les épaisses forêts d’alors.

Ce marronnage a duré 179 ans, près deux siècles, le temps de produire un peuple autochtone occupant toute l’île et qui tenta de repousser les premiers colons français à la mer. Maurice n’étant pas alors une “terra nullius”, ou terre inhabitée, l’auteur avance qu’aujourd’hui une telle colonisation par la force serait illégale en droit international. Les marrons ayant fondu dans la population libre depuis 1835, quand l’esclavage fut aboli, Il affirme dans son introduction:
“Les marrons, c’est nous”.